2000 :
Naissance de Fannie : Pommier Grand Alexandre.
2002:
Naissance de Clara : Pommier Belle Fleur double
2003 :
Naissance de Casper : Poirier St Matthieu
Naissance de Taïna : Cerisier
2004 :
Naissance de Felix : Poirier Jeanne D’arc.
2006 :
Naissance de Satine : Mirabellier.
2007 :
Naissance de Tibor : Pommier Reine des Reinettes.
2008 :
Naissance de Candice : Prunier SainteCatherine.
2012:
Naissance de Thiago : Abricotier
Le château de l’Hancardrie :
C’est un lieu-dit relativement récent en ce sens qu’il n’apparait pas sur la carte dite « de Cassini » de 1744. Le premier cadastre de 1814 ,ous le révèle orthographié « Dencardery ».
En réalité, il ne s’agissait pas d’un château mais d’une belle maison bourgeoise bâtie sur motte, entourées de fossés larges et profonds. En son temps, ce fut une résidence secondaire utilisée couramment pendant les périodes de chasse par le propriétaire M Potteau d’Hancardrie demeurant à Lille et dont la famille remonte au XVIème siècle. Ce Monsieur Potteau emprunta-t-il l’intitulé du site pour l’ajouterà son nom ou donna-t-il celui-ci à sa propriété ? La question n’a pas été élucidée. Cette résidence Ennetièroise fut fréquentée régulièrement par Louis-Joseph-Marie Potteau d’Hancardrie, conseiller de préfecture de 1815 à 1830. C’est lui qui fit reconstruire l’église du village et posa la première pierre le 19 mai 1829.
La Fleur d’Ecosse :
Son origine est très mystérieuse, nous ne pouvons fournir que les éléments suivants : Aux XIIIème et XIVème siécles, il existait à Ennetières une famille d’Aucoch ou d’Ococh. Sur une carte de 1714 apparait le lieu-dit « Fleur d’Escosse ». En vieux français, notamment aux XIIème et XVIIèmes siècles, escosse signifiait rencontre ou délivrance. Le mot Fleur était un nom de baptême assez fréquent au Moyen-Age. Il représentait un choix, une élite d’où : fleur de farine.
L’emblème de l’Ecosse, c’est le chardon, et nous savons aussi que jadis on cultivait le chardon, le Dispsacus sativus, à l’origine incertaine, que l’on appelait le chardon à foulons ou cadère à foulons pour ses capitules aux épines légèrement courbées en crochet, servant à carder les laines.
Livrons nous maintenant à quelques fantaisies aventureuses : il d’agissait peut-être d’une exploitation spécialisée dans la culture de chardon pour les drapiers de la région ou alors une prénommée Fleur aurait été autrefois la propriétaire d’un cabaret ou d’une auberge qui sont des lieux de rencontre.